Restriction oblige

Depuis mon retour en avril dernier, j'ai remarqué que Badoo avait restreint l'accès à la discussion. Comme je vous l'ai expliqué, il s'agit de préserver la gente féminine du flot masculin.
Néanmoins, si vous êtes doté de super-pouvoirs. Ces restrictions ne s'appliquent pas. En clair, il vous faut payer par un SMS surtaxé chaque mois. C'est assez indolore comparé aux formules d'abonnement que proposent les concurrents comme Meetic ou eDarling. C'est de cette source de revenus qui fait que Badoo est très rentable avec plus de 110 millions d'Euros de chiffre d'affaires (source Les Echos).
Mais revenons à ces restrictions destinées à la plus grande partie des Badoo-boys qui comme moi, ne paye pas.
D'abord, il y a la tranche d'âge. Si la dame a mis qu'elle voulait un homme entre 30 et 40 ans et que vous êtes hors plage, le tchat Badoo vous affichera un refus.

Cette restriction est cependant facilement contournable. En tout cas, au moment où j'écris, Badoo n'a pas encore corrigé. Il vous suffit d'éditer votre profil et de changer votre date de naissance provisoirement en vous ramenant dans la fourchette voulue.
Seconde restriction, les deux messages. Vous ne pouvez écrire que deux fois à la personne. Si elle ne vous répond pas, le tchat ne pourra continuer.

Il ne faut donc pas gaspiller ces précieux messages par un banal "Coucou, ça va ?". Il faut être imaginatif et sortir du lot afin d'accrocher et obtenir une réponse.
Pour Badoouiner, il faut être un peu psychologue et être doté d'une bonne dose d'humour.